La Maison de la Danse est le sanctuaire de la danse à Lyon : là-bas, il n'y en a que pour elle. Tout au long de l'année vous pourrez découvrir des spectacles de tous styles de danse. Les week-ends, vous aurez l'occasion de participer à des ateliers, que vous soyez amateur ou initié. Mettre un pied dans cette maison, c'est déjà mettre un pied dans l'univers de la Danse.

La Maison de la Danse est le foyer lyonnais de la danse sous toutes ses formes et toutes ses techniques ; la scène d’un art d’exception qui n’a de limites ni le temps ni l’espace. Depuis plus de trente ans, cette scène aux mille sièges virevolte entre créations originales, répertoire classique et mises en scène audacieuses. Alors laissez vos yeux s’émerveiller devant des chorégraphies puissantes ou aériennes et votre cœur danser en rythme.

Certainement l’un des plus beaux espaces dédiés à la danse à Lyon. Ou plutôt aux danses, car ici, aucune exclusion esthétique. La programmation est très diverse, en matière de style comme d’époque, avec toutefois une affection particulière pour les œuvres contemporaines.

22h, le rideau tombe. Tristes de déjà tirer notre révérence, nous reviendrons, et même en journée car des ateliers d’éducation artistique y sont proposés, pour enfants, ados et adultes.

« Ephémère, immortelle, versatile, la danse est le seul art qui hante certaines mémoires de souvenirs merveilleux. » - Jean Babillée. La Maison de la Danse est le théâtre de ces instants rares et précieux. C'est une sublime scène qui chaque saison donne à représenter des spectacles de qualité et d'une grande diversité : d'un Yacobson Ballet à un contemporain d'Hofesh Shechter. 1145 places pour 1145 privilégiés et autant de plaisirs partagés.

« Je viens te chercher après le dîner. Habille-toi bien et ne sois pas en retard. Je t’embrasse. » Sans même que j’aie le temps de dire un mot, Marc raccroche. Deux heures plus tard, nous voilà face à l’imposante bâtisse circulaire et illuminée de la Maison de la Danse. Dans ce lieu d'exception, toutes les chorégraphies, les meilleurs spectacles s'invitent depuis 1980. Une salle pleine, des chuchotements homogènes, une excitation certaine… Le rideau rouge se lève enfin : spectacle !

La Maison de la Danse porte bien son nom puisque dans cette salle, toutes les formes de danse sont les bienvenues. Ici, vous pourrez par exemple avoir la chance de découvrir Don Quichotte version 2014, c’est-à-dire avec du hip-hop, des claquettes et beaucoup d’humour. Oui, à la Maison de la Danse, on aime oser. Cela se voit dans la programmation 2015 qui promet d’offrir aux yeux des plus grands comme des plus petits encore de beaux spectacles.

« Maison de la Danse, ne serait-ce pas quelque peu prétentieux comme nom ? » « Point du tout cher ami ! S’il y a bien un endroit à Lyon qui accueille les danses les plus diverses, c’est celui-ci. Depuis plus de trente ans, la programmation y est tour à tour audacieuse, variée et surprenante. » Trêve de discussions, la lumière s’affaiblit, les chuchotements de la salle s’amenuisent, l’imposant rideau de velours rouge se lève… Place à l’émerveillement.

Paris a Chaillot, Lyon a La Maison de la Danse, et nous n’avons pas à en rougir. Seuls les fauteuils en velours ont droit à cette couleur ! L’imposant bâtiment, moderne à l’extérieur et traditionnel en son cœur, abrite un temple de la danse. Elle s’y décline sous toutes ses formes, des plus traditionnelles aux plus audacieuses. Chaque lever de rideau révèle des rythmes, cultures et écoles du monde entier. Époustouflant ! Je n’ai qu’un souhait, que jamais La Maison de la Danse ne tire sa révérence.

Songe d'une nuit d'été. Rêve de danse et d'un lieu à la hauteur de cet art exigeant. Rêve d'un accueil souriant et d'une grande salle aux fauteuils de velours rouge. Rêve d'une programmation riche et variée, de danseurs renommés, de corps puissants vibrant sur des rythmes entraînants ou de chorégraphies aériennes et sensuelles. Songe concrétisé, rêve réalisé.

Cette maison cherchait quelqu’un pour l’habiter. Elle avait choisi sa dulcinée et a tout fait pour la séduire. Elle lui a sorti le grand jeu : un amphithéâtre splendide, des lumières tamisées, le rideau rouge. Sous la tutelle gracieuse d’Alonzo King ou originale de Béjart, elle lui a laissé la possibilité de s’exprimer de manière classique, moderne, ou plus contemporaine, selon ses humeurs et ses talents. La danse s’est sentie cajolée et n’a plus voulu partir. Depuis, elle continue de s’y épanouir.