Ici, pas de pudeur, la chasteté se dépose au vestiaire. Capote et gel au poignet, je parcours les lieux. De toute part, des gémissements. Le bruit des chaînes et des corps qui claquent font tomber mes dernières barrières. Mon cœur s'emballe, mon trou palpite. A tâtons dans le labyrinthe, des mains me saisissent, me palpent, me caressent. La raison s'envole, je m'abandonne, mon corps cède alors sous les coups de langue. Lorsque je reviens à enfin à moi, mon corps est moite et mon trou humide.