« Watson, il n’y a rien de tel que de boire du thé en mangeant dedélicieux gâteaux pour s’adonner à la logique déductive.- Mon pauvre Sherlock, vous divaguez, quelle est la corrélationentre les deux ?- Laissez-moi finir ce mélange de thés déniché en Chine par MissHudson et dites-moi qui a fait ces gâteaux.- Comment diable voulez-vous que je le sache ?- Vous êtes désespérant. Miss Hudson est couverte de farine, c’estelle qui les a faits.- Impressionnant !- Mais non voyons, tout ceci n’est qu’élémentaire. »

Auprès de mon arbre je vivais heureux. Ses feuilles donnaient des thés aux saveurs subtiles. J’en choisis un qui n’avait pas mauvaise réputation, il s’appelait Toit du monde. Plus j’observais autour de moi, plus je pensais à la maison de ma tante Fernande : de la porcelaine y était exposée sur de vieux meubles. Dans les assiettes, il y avait des petites parts de tarte salée et des pâtisseries qu’on aimait bien déguster avec Pierre, Paul et compagnie. Sur le ventre on se tapait fort, les copains d’abord !