Forte, nerveuse, grasse était ma pièce de viande. Quelconque, banal, impersonnel était le lieu. Agréable, gentil, rapide était pourtant le service. Entre nous, un mauvais coup.

Je n'aime pas les bouchons : du gras grillé, du gras en sauce, du gras frit, du gras et des abats. Mais loin des attrape-touristes de la rue Saint-Jean, c'est ce gérant chilien qui me réconcilie avec la gastronomie de la ville des gones. Une entrecôte au Saint-Marcellin, un serveur qui danse en cuisine sur du Victor Raja et un calvados pour accompagner le patron qui restera au whisky coca. RPPP en 2016, en 2017 il le restera.

Les bouchons peuplent Lyon. Pourtant, difficile d'en trouver un bon. Ce soir, j'ai découvert l'exception. Laissez-moi vous conter ma dégustation. Sur la jolie place se trouve une petite salle tapissée de vieilles affiches et de caricatures. Avec la formule, je peux tout essayer sans craindre de trop manger. Les vins sont de grande qualité et le gratin de ravioles à la crème de foie gras puis l'os à moelle me laissent bouche bée. Belle leçon lyonnaise de la part d'un chef chilien !

Les bouchons peuplent Lyon. Pourtant, difficile d'en trouver un bon. Ce soir, j'ai découvert l'exception. Laissez-moi vous conter ma dégustation. Sur la jolie place se trouve une petite salle tapissée de vieilles affiches et de caricatures. Avec la formule, je peux tout essayer sans craindre de trop manger. Les vins sont de grande qualité et le gratin de ravioles à la crème de foie gras puis l'os à moelle me laissent bouche bée. Belle leçon lyonnaise de la part d'un chef chilien !